literapedia bern
Das Lexikon der Berner Schriftstellerinnen
und Schriftsteller

Faure, Gabrielle: Unterschied zwischen den Versionen

Aus literapedia bern
Zeile 20: Zeile 20:
* R. Francillon, ''Histoire de la littérature en Suisse romande'', vol. 4, p. 441
* R. Francillon, ''Histoire de la littérature en Suisse romande'', vol. 4, p. 441
* A. Nicollier, H.-Ch. Dahlem, ''Dictionnaire des écrivains suisses d'expression française'', vol. 1, p. 368-369  
* A. Nicollier, H.-Ch. Dahlem, ''Dictionnaire des écrivains suisses d'expression française'', vol. 1, p. 368-369  
* A.-L. Delacrétaz, D. Maggetti, ''Ecrivaines et écrivains d'aujourd'hui'', p. 71. <br /> Siehe:
* A.-L. Delacrétaz, D. Maggetti, ''Ecrivaines et écrivains d'aujourd'hui'', p. 71. <br /> Siehe: BCU/Doc. vaudoise/bs/2008/06/11


== Weblinks ==
== Weblinks ==

Version vom 28. Mai 2011, 01:21 Uhr

Marie-Rose Degoumois, Pseudonym: Gabrielle Faure (* 29.11.1917; † 1996) Lectrice retraitée de l'université de Lausanne

Vorlage:Verstecken

Persönlicher Beitrag

Je suis née à Berne, sous la protection des arcades et du Gurten, emblèmes de cette ville qui est restée pour moi la "patrie", même si je n'étais pas de langue allemande, d'origine. Après une scolarité normale qui a permis à la petite "welsch", enfant unique, de s'initier de mieux en mieux à la culture allemande, je suis entrée à l'Université, où je me suis même mise définitivement au dialecte. Peine perdue ou ironie du sort? Le séjour linguistique obligatoire m'a conduite à Lausanne, où j'ai connu mon futur mari, bâlois. Mariage, deux fils, enseignante au collège puis lectrice à l'Université de Lausanne, dans la partie destinée aux non-francophones. Mais c'est à peine si le bleu Léman n'a pas effacé de ma mémoire le cours de l'Aar, que j'avais tant de fois suivi.

Leben

"Gabrielle Faure, de son vrai nom Marie-Rose Degoumois, est née à Berne le 29 novembre 1917. Après des études de lettres à Berne et à Lausanne, elle travaille comme lectrice à l'Université de Lausanne, puis comme professeur, fonction qu'elle assume jusqu'en 1977. A cette date, elle est engagée comme journaliste à la Radio Romande et comme collaboratrice au Service de presse suisse. Elle se fait connaître en 1979 par un recueil de nouvelles, Evora et un roman l'Excavation, avec lequel elle s'inscrit dans la lignée naturaliste: l'échec, la maladie, la mort pèsent sur l'existence des petites gens que le roman met en scène. Par la suite, elle continue d'explorer ces deux genres littéraires tout en écrivant des jeux radiophoniques, des pièces de théâtre et de radio. Elle traduit également des auteurs alémaniques. Membre de l'Association vaudoise des écrivains, de la Société suisse des écrivaines et écrivains, de Pro Litteris et du PEN-Club, Gabrielle Faure a reçu de très nombreuses distinctions, et notamment le Prix SRAD 1962, le Prix Schiller 1978, le Prix des auteurs romantiques romands et le Prix des arènes d'Avenches. Elle décède le 1er octobre 1996." (Quelle: BCU Lausanne, 2011

Quellen

  • H.-Ch. Dahlem, Sur les pas d'un lecteur heureux guide littéraire de la Suisse, p. 194
  • P.-O. Walzer, Dictionnaire des littératures suisses, p. 435
  • R. Francillon, Histoire de la littérature en Suisse romande, vol. 4, p. 441
  • A. Nicollier, H.-Ch. Dahlem, Dictionnaire des écrivains suisses d'expression française, vol. 1, p. 368-369
  • A.-L. Delacrétaz, D. Maggetti, Ecrivaines et écrivains d'aujourd'hui, p. 71.
    Siehe: BCU/Doc. vaudoise/bs/2008/06/11

Weblinks

  • Faure, Gabrielle im Dictionnaire du Jura DiJu

Weblinks UB Bern